lundi 2 mai 2011

Argentine : Buenos Aires, l'arrivée carnavalesque - 1


J’embarque dans le ferry qui me mènera vers l’Argentine. Les agents de bords m’indiquent que mon siège se trouve en première classe (ça pour une nouvelle…). Petits fours et champagne sont 
à disposition. Coupe à la main, je regarde les côtes de l’Uruguay s’éloignées. Une petite heure plus tard, me voici à Buenos Aires.



Coin pratique :

  • Depuis Colonia del Sacramento (Uruguay), vous pouvez prendre le bateau vers Buenos Aires, avec la compagnie Buquebus.
  • Prix : entre 150 et 350 pesos Arg. selon la saison, la rapidité du bateau et la classe.
  • Achetez votre billet le plus tôt possible pour vous assurer de faire des économies



La nuit tombée, je me faufile dans les rues de la capitale Argentine. Quelques dizaines de minutes plus tard, je me trouve face à l’appartement des habitants qui m’hébergeront. Comme à l’accoutumée, mon cœur bat plus fort pendant les quelques secondes situées entre la sonnerie et l’ouverture de la porte. Ce n’est pas une mais quatre personnes qui m’attendent de pied ferme. Une aubaine, ils sont brésiliens. L’appartement dispose d’un cachet unique : une structure rappelant un chalet, une décoration à la fois baba cool et cinématographique et une atmosphère très familiale. Il n’y a qu’une seule et unique chambre. Les 4 brésiliens doivent avoir un certain talent dans la vie en communauté



Je me sens rapidement en confiance. Pas le temps de se reposer, ils ont invité une dizaine de personnes pour festoyer. Je rencontre, d’autres brésiliens, mais également des équatoriens, mexicains
et quelques européens. Par la suite, nous nous dirigeons vers une première discothèque où nous nous ferons refouler. 80% des personnes décident de déclarer à forfait alors que les plus courageux
envisagent de se rendre dans un autre lieu. Je fais bien sûr parti de ces derniers. La nuit sera chaude, au son du reggaeton et de la Cumbia.






Le lendemain, la journée et courte. Il fait à peine nuit, que l’on m’annonce le programme pour la soirée. Décidemment, il semble que nous vivions davantage la nuit à Buenos Aires. Nous arrivons dans une autre colocation internationale. Cette fois-ci l’appartement est immense et pourrait contenir facilement une centaine de personnes. Après avoir fait connaissance avec une dizaine de nationalité, nous prenons la route  pour une boîte de nuit.






Je monte dans la voiture d’une personne d’Arabie Saoudite. Cela fait 4 ans qu’il est à Buenos Aires et, il ne peut que baragouiner 2/3 mots d’espagnol. Sa voiture de gangster, l’interdiction de parler de son passé ou encore le non souhait de converser sur ce qu’il fait actuellement, laisse transparaître un garçon douteux.



La boîte de nuit est immense. Plusieurs centaines de personnes dansent au rythme des sons latinos et electros. La première chose qui me frappe : le nombre de filles présentes. Partout où je me retourne, je suis entouré de personnes de sexe opposé (loin de moi l’idée de me plaindre).







Après 8 heures de déhanchement, nous nous rendons dans une pizzeria afin de reprendre des forces. Certains ne résisteront pas à la fatigue…





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