Argentine : Bariloche, entre chocolat et chalet - 2

A travers la fenêtre de la maison, je vois que le temps est gris, que le vent souffle fort et tout s’apprête à penser qu’il va pleuvoir. En un mot : la Patagonie. Bref, c’est un jour idéal (et oui, il faut bien relativiser) pour parcourir la ville de Bariloche et en savoir un peu plus sur sa culture et ses artères.

Coin pratique :

• Pour déguster du bon chocolat ou simplement flâner dans les boutiques de gliss, rendez vous dans les deux avenues principales de Bariloche : Mitre et Moreno.

Après avoir fermé la porte de la maison, je manque de m’envoler à cause des rafales de vents violents. Etant plus ou mois intelligent, je me dirige vers le littoral pour admirer le lac. J’aperçois un panneau indiquant « plage ». Avec ces intempéries (mais parce que nous sommes proche de l’hiver), j’ai du mal à m’imaginer que l’on puisse se baigner à Bariloche. Qu’importe. Voir cette ville lovée dans un lagon, lui-même encerclée par des montagnes, est un moment bien beau.

Je remonte vers les rues principales de la ville de Bariloche. C’est alors que s’abat une pluie si froide, qu’elle soulève le cœur. Les gouttes d’eau frappes mon visages telle une gifle injuste et à répétition. La ville à son charme. Avec ses multiples boutiques de chocolats, de vêtements de « gliss » ou encore de bières artisanales, on se croirait quelque part en Suisse ou en Autriche.

Si le centre ville propose quelques demeures en forme de chalet (surtout les commerces), il faut aller vers la périphérie pour comprendre qu’il s’agit plus que d’une mode. Malheureusement, on se rend vite compte que ce sont surtout les hôtels qui arborent une telle architecture (le touriste est roi).

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